1 février 2012
Fonctionnelle
Certes il y a les guerres, les crash boursiers, les maladies mentales, les addictions et les fourches.
Tout un tas de raisons de désespérer du genre humain.
Et puis, un jour, on tient un enfant dans ses bras. La joie. La vie.
Un petit être qui deviendra un jour militaire, banquier, schizophrène, alcoolique ou coiffeuse.
John-Fullup O'Flagornery
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